J’ai l’habitude de dire aux patients et aux jeunes médecins : « AINS du soir, espoir du matin », insistant ainsi sur le fait que prescrire un AINS à libération prolongée le soir permettra de couvrir les réveils nocturnes et le dérouillage matinal de bon nombre de RIC. Ces symptômes de l’inflammation sont en liaison avec une sécrétion nocturne d’IL-6 et de TNF-a par exemple. La chronobiologie apporte aussi sa pierre avec les corticoïdes plus efficaces lorsqu’ils sont donnés le soir. Cela souligne l’intérêt des formes de stéroïdes à libération prolongée indisponibles en France.
Cette administration de médicaments à un horaire donné suit une logique pharmacologique et physiologique, par exemple selon la luminosité, selon les rythmes nycthéméraux des sécrétions hormonales ou cytokiniques.
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