Si un large consensus place le méthotrexate en monothérapie à la première ligne de traitement dans la polyarthrite rhumatoïde (PR), comme le montrent les recommandations françaises (1), celles de l’EULAR (2) et de l’ACR (3), la place des combinaisons de traitements de fond conventionnels reste beaucoup plus débattue. En effet, si de nombreuses études ont été publiées ces dernières années, notamment sur la triple association méthotrexate-salazopyrinehydroxychloroquine, aucune ne répond parfaitement à la question.