Les différents cas de figure pas à pas
La prise en charge thérapeutique de la polyarthrite rhumatoïde (PR) a considérablement évolué ces dernières années grâce à l’arrivée des immunothérapies. Quand un patient ne répond pas à un traitement ou bien quand il y répond de façon partielle, le rhumatologue ne doit pas se soustraire à l’analyse de la situation clinique sous prétexte d’un nombre croissant de molécules disponibles. En cas de non-réponse optimale à un traitement, le rhumatologue doit tout mettre en œuvre pour optimiser le traitement sous réserve qu’il soit bien toléré. Après avoir défini la non-réponse optimale et les délais acceptables pour apprécier cette non réponse, nous aborderons les moyens actuellement disponibles pour la dépister. L’optimisation des traitements sera ensuite abordée à travers la non-réponse optimale à un disease modifying arthritic rheumatism drug (DMARD) non biologique et la non-réponse optimale à une immunothérapie, qui sont les deux situations les plus fréquentes en pratique quotidienne.
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