Pr Adeline Ruyssen-Witrand (CHU, Toulouse)
Ont été présentés cet après-midi en plénière de l’ACR les résultats très attendus de l’étude ORAL Surveillance sur le risque cardiovasculaire.
L’étude ORAL Surveillance
Pour rappel, l’étude ORAL Surveillance est une étude de non infériorité de sécurité qui avait pour objectif de comparer les événements cardiovasculaires et également les cancers chez les patients qui initiaient un traitement par tofacitinib 5 ou 10 mg deux fois par jour en comparaison avec des patients traités par anti-TNF, étanercept ou adalimumab. Les patients étaient randomisés et étaient inclus à condition d’avoir des facteurs de risque cardiovasculaire ou de cancers, c’est-à-dire être âgés de plus de 50 ans, d’avoir au moins un facteur de risque cardiovasculaire et d’avoir une réponse inadéquate au méthotrexate.
La lecture de cet article est réservée aux professionnels connectés.
Pour accéder à l'article complet
Découvrez nos offres d'abonnement
Abonnez-vous à la revue et accédez à tous les contenus du site !
- Tous les contenus de la revue en illimité
- Les numéros papier sur l'année
- Les newsletters mensuelles
- Les archives numériques en ligne
ou
Achetez cet article
ou
Inscrivez-vous gratuitement sur Rhumatos.fr et bénéficiez de l'accès à de nombreuses catégories du site !
- Accès aux articles des catégories : Etudiants, Le jour où, Cabinet de curiosité, Conseil associé, Doc+, Mémo conseil, Molécule, Revue de presse, Pharmacovigilance
- Les newsletters mensuelles