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Les petites molécules dans le rhumatisme psoriasique : le point en 2017

Résumé

L’arsenal thérapeutique concernant la prise en charge thérapeutique du rhumatisme psoriasique s‘élargit. Après les biomédicaments sous forme intraveineuse (IV) ou sous-cutanée (SC) utilisés en cas d’échec aux traitements conventionnels, nous avons la possibilité désormais d’utiliser des nouvelles thérapies orales comme l’aprémilast (anti-phosphodiestérase 4) et à très court terme, le tofacitinib (anti-JAK1/JAK3). Ces deux molécules ont montré leur efficacité dans le rhumatisme psoriasique. Leur place exacte dans l’arsenal thérapeutique reste à définir.

Abstract: Small molecules in psoriatic arthritis
Many therapies are used to treat psoriasis arthritis (PsA) (biologic agents and new small molecule inhibitors (licensed and nonlicensed) based on their proven efficacy in treating different clinical manifestations associated with PsA phosphodiesterase 4 inhibitor (apremilast) and Janus kinase inhibitor (tofacitinib) are efficacy for each of the clinical features. We discuss how using this new drugs in practice.

Introduction

Depuis l’an 2000, nous avons appris à utiliser les biomédicaments de type anti-TNF (étanercept, infliximab, adalimumab, certolizumab et golimumab et leurs biosimilaires) pour traiter le rhumatisme psoriasique (RP), en cas d‘échec, en particulier soit aux AINS dans les formes axiales soit au méthotrexate dans les autres formes. Au milieu des années 2010, l’arsenal des biomédicaments a été complété par l’arrivée d’autres molécules ciblant pour l’une l’interleukine 12/23 (ustékinumab) et l’autre l’interleukine 17 (sécukinumab). Toutes ces molécules sont sous forme IV ou sous-cutanée. Leur efficacité et leur bonne tolérance permettent une bonne réponse dans la majorité des cas, que cela soit sur le plan articulaire ou cutané.

Depuis peu, nous avons la possibilité d’utiliser des “biomédicaments oraux”, dits de manière usuelle “les petites molécules”. Celles-ci viennent intégrer, au fur et à mesure de l’obtention des AMM, l’arbre décisionnel du GRAPPA quant à l’utilisation de telle ou telle molécule en fonction des symptômes rhumatologiques et/ou dermatologiques (1-5).

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