Quelles explications ?
La pyrétothérapie, thérapeutique par l’induction de fièvre, fut un traitement assez courant de la polyarthrite rhumatoïde débutante entre les années 1950 et 1970. Associée rapidement à la chrysothérapie, elle a pu induire des résultats immédiats souvent brillants et des rémissions prolongées. Si son mécanisme d’action était initialement inconnu, on peut penser de nos jours que ce traitement induisait une biothérapie endogène, notamment par sécrétion de récepteurs solubles du TNFα.
La lecture de cet article est réservée aux abonnés.
Pour accéder à l'article complet
Découvrez nos offres d'abonnement
Abonnez-vous à la revue et accédez à tous les contenus du site !
- Tous les contenus de la revue en illimité
- Les numéros papier sur l'année
- Les newsletters mensuelles
- Les archives numériques en ligne
ou
Achetez cet article
ou
Inscrivez-vous gratuitement sur Rhumatos.fr et bénéficiez de l'accès à de nombreuses catégories du site !
- Accès aux articles des catégories : Etudiants, Le jour où, Cabinet de curiosité, Conseil associé, Doc+, Mémo conseil, Molécule, Revue de presse, Pharmacovigilance
- Les newsletters mensuelles