Pr Thierry Schaeverbeke (CHU, Bordeaux)
La pseudopolyarthrite rhizomélique (PPR) est une maladie remarquablement sensible à la corticothérapie, mais qui requiert souvent des doses relativement importantes sur une durée prolongée, ce qui expose des patients souvent âgés à des effets secondaires : diabète ou ostéoporose cortico-induite par exemple.Dans le Horton, où la corticothérapie est encore plus massive, le tocilizumab a montré sa capacité à contrôler la maladie et à assurer une épargne cortisonique conséquente. L’objectif de cette étude est d’apporter la preuve de l’intérêt du tocilizumab dans la PPR.
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