Les rhumatismes à pyrophosphate de calcium
Les rhumatismes à pyrophosphate de calcium regroupent en réalité plusieurs entités cliniques, pouvant être très différentes les unes des autres. On distingue classiquement quatre phénotypes :
• la forme asymptomatique (probablement la plus fréquente),
• l’arthrite aiguë à pyrophosphate de calcium (proche de la crise de goutte),
• l’arthrite chronique à pyrophosphate de calcium (pouvant ressembler à une polyarthrite rhumatoïde séronégative ou à une pseudo-
polyarthrite rhizomélique),
• et les arthroses associées à des dépôts de pyrophosphate de calcium (pouvant être atypiques par leur localisation ou leur sévérité radiographique) (1).
Nous n’aborderons ici que le traitement des formes inflammatoires aiguës, chroniques, ou mixtes (associant une arthrite chronique à des crises inflammatoires plus ou moins répétées dans le temps) (Fig. 1).
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