La prise en charge des rhumatismes inflammatoires chroniques (RIC) a connu une profonde transformation au cours de la dernière décennie, avec l’émergence d’un arsenal thérapeutique de plus en plus diversifié. Malgré ces avancées, un nombre significatif de patients ne répond pas de manière satisfaisante aux différents traitements disponibles.
Les patients “difficiles à traiter”
Ces situations ont conduit à l’émergence de nouvelles catégories de patients, définies en fonction de la pathologie :
• les patients difficult-to-treat (D2T) dans la polyarthrite rhumatoïde (PR) (1),
• les patients difficult-to-manage (D2M) dans la spondyloarthrite (SpA) (2),
• et les patients complex-to-manage
(C2M) dans le rhumatisme psoriasique (RPso) (3).
Bien que les terminologies diffèrent selon les pathologies, elles partagent un socle commun : il s’agit de patients ayant échoué à plusieurs biothérapies aux mécanismes d’action distincts, présentant des signes et symptômes persistants, et dont la prise en charge est perçue comme difficile par le clinicien et/ou le patient.
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