Nous disposons aujourd’hui d’un arsenal thérapeutique très fourni pour traiter le rhumatisme psoriasique (RPso) et il est donc important de choisir le traitement le plus adapté à un phénotype donné (Tab. 1). Nous avons choisi, lors de cette communication, de présenter deux situations distinctes et rencontrées en pratique quotidienne.
Psoriasis (PSO) modéré à sévère associé à un RPso
La question est alors : en quoi les caractéristiques du RPso peuvent-elles influencer le choix thérapeutique du dermatologue face à un PSO modéré à sévère (PASI > 10 et/ou surface corporelle atteinte > 10 %) ? Aujourd’hui les dermatologues, face à un PSO modéré à sévère, utilisent en première ligne de traitement biologique, soit un anti-IL-17, soit un anti-IL-23. En effet, ces deux classes thérapeutiques ont montré, à travers de nombreuses études face-face, leur supériorité sur le plan cutané par rapport aux anti-TNF et anti-IL-12/23, avec notamment l’obtention de taux élevés de réponse PASI 90 ou 100, soit un blanchiment complet chez des patients sévèrement atteints (Fig. 1). Lorsqu’un RPso est associé à ce PSO modéré à sévère, on peut schématiquement considérer trois situations.
La lecture de cet article est réservée aux abonnés.
Pour accéder à l'article complet
Découvrez nos offres d'abonnement
Abonnez-vous à la revue et accédez à tous les contenus du site !
- Tous les contenus de la revue en illimité
- Les numéros papier sur l'année
- Les newsletters mensuelles
- Les archives numériques en ligne
ou
Achetez cet article
ou
Inscrivez-vous gratuitement sur Rhumatos.fr et bénéficiez de l'accès à de nombreuses catégories du site !
- Accès aux catégories d'articles exclusives
- Les newsletters mensuelles
- Votre historique de commandes en ligne