Après les corticoïdes et les infections, au tour des traitements de fond de la polyarthrite rhumatoïde et des traitements par agents biologiques. Nous avons eu la chance d’entendre et de voir la présentation de Raphaele Seror, qui travaille à Bicêtre avec Xavier Mariette. Dans ce travail, co-signé avec Bruno Fautrel et Florence Tubach, qui est la méthodologiste « maison », ils ont étudié les données de notre Assurance maladie, celle qui couvre 86 % de la population. Donc, sur 60 millions de personnes, ils ont pu identifier 170 000 malades et les ont stratifiés entre ceux qui avaient un traitement de fond conventionnel, et ceux qui avaient un traitement de fond biologique. Ils ont pu ainsi évaluer le risque de tumeur (de cancer-incident) sur une période de suivi de 14 ans.
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