Une revue des différents essais
La pseudopolyarthrite rhizomélique (PPR) est le rhumatisme inflammatoire le plus fréquent du sujet âgé. Il touche les grosses articulations et est fréquemment associé à la maladie de Horton. Le traitement de référence demeure la corticothérapie. Les recommandations de la British Society of Rheumatology (BSR) préconisent de débuter à 15 mg puis une décroissance de 2,5 mg toutes les trois semaines jusqu’à 10 mg, puis d’un mg tous les mois (1). Le suivi et l’évaluation de la réponse se font, selon les recommandations de l’EULAR, par la clinique (évaluation du praticien, dérouillage matinal, douleurs musculaires) et par la biologie (la C-reactive protein (CRP) se normalise couramment en 3 semaines et la vitesse de sédimentation (VS) en 1 à 2 mois) (2). Les complications liées à la corticothérapie sont potentiellement graves et non rares : ostéoporose fracturaire, infections, hypertension, cataracte… Se pose donc le problème des patients corticodépendants à une posologie minimale efficace non tolérable au long cours. En cas d’échec de la corticothérapie seule, de quelles alternatives disposons-nous en association ou en remplacement des corticoïdes ?
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