Quels traitements proposer en 2015 et quels sont les futurs espoirs thérapeutiques ?
La pseudo-polyarthrite rhizomélique (PPR) est le plus fréquent des rhumatismes inflammatoires du sujet âgé. Son traitement est basé sur la corticothérapie, dont les modalités de prescription et de décroissance visant à l’utilisation de faibles doses sont maintenant mieux codifiées et reposent sur une mesure d’activité propre qu’est le DAS-PPR. D’autres alternatives thérapeutiques ont été évaluées dans les PPR débutantes, plus souvent en cas d’apparition de corticodépendance.
Cependant, dans de nombreux cas de corticodépendance, il s’agit de diagnostics erronés, un syndrome PPR ayant abouti à tort au diagnostic de la PPR maladie. En cas de réelle corticorésistance, quasiment aucun traitement n’a pu démontrer une efficacité importante à l’heure actuelle et les espoirs concernent plutôt des thérapeutiques ciblant de nouvelles cytokines telles que l’interleukine 6 ou 17.
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