Facteurs associés à un mauvais contrôle de l’uricémie au cours d’un traitement hypo-uricémiant
Alors qu’on la pensait vaincue, la fréquence et la gravité de la goutte augmentent en raison des modifications de l’alimentation devenue trop riche, de l’épidémie de l’obésité et du vieillissement de la population. Il existe ainsi un certain paradoxe entre l’existence de traitements hypo-uricémiants très efficaces et la résurgence des formes sévères et invalidantes, d’autant que la connaissance de cette maladie sur le plan épidémiologique, physiopathologique et thérapeutique a beaucoup progressé ces dernières années. Plusieurs causes peuvent expliquer ce paradoxe, comme par exemple l’observance thérapeutique médiocre, une éducation thérapeutique insuffisante ou encore une médication inadaptée. En effet, lorsque sa dose est ajustée régulièrement, l’allopurinol permet d’obtenir une uricémie inférieure à 360 μmol/l chez plus de 90 % des patients avec insuffisance rénale (1).
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