Dr Augustin Latourte (APHP, Paris)
Une équipe américaine a fait trois études sur le risque de développer une goutte en fonction des facteurs de risque génétiques, alimentaires ou de l’obésité. Cette question fait un peu débat puisqu’une équipe néozélandaise a publié récemment une étude selon laquelle la génétique écraserait complètement tous les autres facteurs de risque modifiables dans le risque de goutte et que, par conséquent, modifier l’alimentation ou faire maigrir les patients n’avait que peu d’effet chez ceux qui avaient un risque génétique élevé, et que, finalement, il ne fallait pas trop harceler les patients avec des mesures hygiéno-diététiques.
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