On l’a oublié, mais la poliomyélite créa autrefois une véritable psychose. De 1945 à 1956, la France dénombrait entre 1 000 et 2 000 cas chaque année, pour dépasser plus de 4 000 en 1957. Les États-Unis n’échappèrent pas à de terrifiantes épidémies qui disparurent avec l’arrivée d’un vaccin en 1958. Par l’une de ses œuvres, le peintre américain Norman Rockwell nous rappelle ce temps-là.
L’œuvre (Fig. 1)
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