« Tout est poison, rien n’est poison, ce qui fait le poison c’est la dose », affirmait Paracelse dans une formule devenue célèbre.
« Rien n’est poison » était la position traditionnelle de confiance des patients et de la société à l’égard du monde médical envisagé comme le monde des sachants. L’injection n’était pas vue comme une effraction, car pratiquée par un médecin bienveillant qui ne voulait que soulager son patient. En conséquence, la mise en cause judiciaire était rarissime.
« Tout est poison » est une tendance possible de suspicion à l’égard du monde médical alimentée par des scandales sanitaires et des crises liées à certains traitements ou médicaments.
« Le poison c’est la dose » est la règle communément partagée et énoncée par les tribunaux.
Mais pas seulement la dose… Le manque d’information sur le risque lié à une injection, le geste d’injection lui-même et les conditions d’hygiène dans lesquelles l’injection est réalisée sont susceptibles d’engager la responsabilité du rhumatologue.
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